Seul au Schibenstoll
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Bien que je sois parti le samedi du week-end de Pentecôte, donc le jour le plus propice à avoir moins de monde sur les chemins de randonnée, je n'en croyais pas mes yeux en arrivant au sommet du Schibenstoll : je suis tout seul (et je le reste pendant presque une heure), n'ayant croisé personne pendant ma montée, et bien que les autres sommets des Churfirsten soient bien peuplés. Une première pour moi :) !
Il faisait plus de 20°C à Sellamatt (1390m), mon point de départ - et sans doute plus de 15°C au sommet du Schibenstoll. Il fallait donc partir "à la fraiche", mais je suis assez tard à Alt St.Johann donc je décide de prendre le télésiège (CHF 9 la montée simple avec un demi-tarif, soit une augmentation de 50% en 6 ans...).
Je prends la direction, seul, des Churfirsten, sachant par avance qu'il faudra dépasser le Schibenstoll pour revenir ensuite sur ses pas. Ayant atteint Rüggli (1737m) après 3/4h de marche au milieu des pâturages bien fournis, je prends à gauche pour attaquer la montée. Elle se déroule en 3 étapes : une approche sur des blocs de calcaire jusqu'à l'ombre de la face occidentale, l'évolution sur un fin chemin au pied d'à-pics assez vertigineux et enfin, après avoir passé une cheminée d'une dizaine de mètres, on se retrouve sur une pente herbeuse de plus en plus douce jusqu'au sommet du Schibenstoll (2234m), situé sur la gauche du chemin, que j'atteins au bout de 2h (2h40 annoncées).
Un petit truc pratique : on n'aperçoit la croix du sommet que très tard, donc difficile de se faire une idée de ce qu'il reste à faire. En fait, il suffit de s'étalonner sur le Zuestoll, tout proche sur la droite, puisque les 2 sommets ont la même altitude (à 1m près).
Je profite longuement de cette tranquilité et du panorama à 360° absolument extraordinaire, puis reprends le même chemin vers le bas. C'est d'ailleurs cette partie qui me fait rajouter un indice de difficulté au chemin, pourtant rouge-blanc : en effet, tous les nevés n'ont pas encore disparu, et certains sont en travers du chemin, ce qui le rend, à la descente, particulièrement périlleux en certains endroits.
Arrivé de nouveau à Rüggli, je décide d'explorer un peu le Toggenburg et me dirige un peu à l'instinct vers Starkenbach (890m), que j'atteins après environ 2h de descente, et ce malgré avoir perdu le chemin plusieurs fois (je sais, c'est une région très bien équipée en panneaux de direction, mais j'ai coupé quelques fois à travers les pâturages pas encore occupés par les troupeaux et j'en ai perdu le chemin...).
Il faisait plus de 20°C à Sellamatt (1390m), mon point de départ - et sans doute plus de 15°C au sommet du Schibenstoll. Il fallait donc partir "à la fraiche", mais je suis assez tard à Alt St.Johann donc je décide de prendre le télésiège (CHF 9 la montée simple avec un demi-tarif, soit une augmentation de 50% en 6 ans...).
Je prends la direction, seul, des Churfirsten, sachant par avance qu'il faudra dépasser le Schibenstoll pour revenir ensuite sur ses pas. Ayant atteint Rüggli (1737m) après 3/4h de marche au milieu des pâturages bien fournis, je prends à gauche pour attaquer la montée. Elle se déroule en 3 étapes : une approche sur des blocs de calcaire jusqu'à l'ombre de la face occidentale, l'évolution sur un fin chemin au pied d'à-pics assez vertigineux et enfin, après avoir passé une cheminée d'une dizaine de mètres, on se retrouve sur une pente herbeuse de plus en plus douce jusqu'au sommet du Schibenstoll (2234m), situé sur la gauche du chemin, que j'atteins au bout de 2h (2h40 annoncées).
Un petit truc pratique : on n'aperçoit la croix du sommet que très tard, donc difficile de se faire une idée de ce qu'il reste à faire. En fait, il suffit de s'étalonner sur le Zuestoll, tout proche sur la droite, puisque les 2 sommets ont la même altitude (à 1m près).
Je profite longuement de cette tranquilité et du panorama à 360° absolument extraordinaire, puis reprends le même chemin vers le bas. C'est d'ailleurs cette partie qui me fait rajouter un indice de difficulté au chemin, pourtant rouge-blanc : en effet, tous les nevés n'ont pas encore disparu, et certains sont en travers du chemin, ce qui le rend, à la descente, particulièrement périlleux en certains endroits.
Arrivé de nouveau à Rüggli, je décide d'explorer un peu le Toggenburg et me dirige un peu à l'instinct vers Starkenbach (890m), que j'atteins après environ 2h de descente, et ce malgré avoir perdu le chemin plusieurs fois (je sais, c'est une région très bien équipée en panneaux de direction, mais j'ai coupé quelques fois à travers les pâturages pas encore occupés par les troupeaux et j'en ai perdu le chemin...).
Tourengänger:
gurgeh
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