Retour du Grand Saint-Bernard

Le lendemain, ce n'est plus la même... le temps a changé durant la nuit et il neige. Le vent étant très fort, des accumulations importantes se sont formées durant la nuit. Cela ressemble beaucoup à la situation que j'avais vécue deux ans auparavant, sauf que la couche de fond existante était beaucoup plus importante.

La visibilité étant pratiquement nulle, j'ai décidé que nous redescendrions directement, car la mauvaise visibilité représente non seulement un danger, mais n'apporte pas grand-chose.

La descente s'est effectuée en étant poussés, de temps en temps, par des bourrasques de foehn. Les accumulations étaient importantes (on brassait jusqu'au genoux, malgré les raquettes).

La chose surprenante est que, de retour au parking, très peu de neige était restée sur le goudron.