Tour de Bavon, approche VTT
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La Tour de Bavon est un coin qui n'attire plus... Le sentier du sommet des pistes jusqu'à la Tour est en cours de disparition, et, ce 17 juillet, je n'ai rencontré personne, sur l'entier de la randonnée. La flore est riche, et les edelweiss garnissent les prés dès 2400m. Dans le bon vieux temps, il y avait des vaches, et des moutons. Maintenant que le loup fait ses emplettes dans le coin, il n'y a plus rien au-dessus de 2200m.
Le trajet choisi pour le VTT n'est pas difficile ni exposé, il est juste physiquement exigeant. J'emprunte le sentier raquette pour la montée qui passe par la bonne route en terre jusqu'au point 1822 (Planboeufs). Depuis là, il faut pousser son vélo, et c'est assez raide. S'il est électrique, il va monter tout seul, la difficulté sera de le suivre car la pente est rude. 200m de dénivellation. C'est assez vite avalé. Deux courts passages nécessitent un petit portage pour un VTT léger, un peu plus de gymnastique pour un VTTe.
Dès 2000m on arrive dans des clairières vraiment sauvages et jolies. Ce bout de la randonnée vaut à lui seul le déplacement. La pente faiblit et l'on peut se remettre en selle. On passe Tsamonay, 2111, joli point de vue sur le val Ferret, puis une jolie descente en prairie jusqu'au point 2042.
Depuis là, les choses se dégradent pour le cycliste, car le sentier est dans un sillon assez profond; il n'est pas possible de pédaler: les pédales touchent le terrain latéral. Alors deux solutions: pousser jusqu'au point 2208, ou, moins joli, mais mieux adapté, aller vers le point 2015 (Vouardette), et montée raide sous les câbles de l'installation du télésiège. Il y a une piste raide pour gros 4x4. De la fin de cette installation, jusqu'au point 2267, la trace pour véhicule continue, ce qui permet de se mettre en selle sans peine. Laisser le vélo ici, car le terrain qui suit ne permet plus de rouler.
La montée se poursuit donc à pied sur une trace de sentier par un flanc nord sous le point 2345. Aucun marquage, mais cheminement évident. Arrivée au col, un grand kern est érigé, au milieu d'une vaste plaine d'altitude. Depuis là, il faut partir plein Est en direction de la crête. Aucun marquage, et peu de trace de sentier. Par temps clair, aucun problème. Terrain alpin non exposé. La flore est belle. Un petit passage entre roches et c'est le sommet qui arrive, sur une crête large sans danger. 45 minutes.
La descente s'effectue par le même cheminement, puis on saute sur son vélo, on retourne à la Vouardette en passant, cette fois sans hésiter, sous les câbles jusqu'à la buvette d'hiver. Puis on prend la route, en très bon état. Ça file bien. Un trentaine de minutes, et les 680 mètres de dénivellation sont parcourus avec plaisir, sans douleurs !
C'est cette descente facile qui justifie l'effort de monter son vélo jusqu'au sommet des pistes. Car, à pied, c'est pas fameux. Le sentier du point 2258 jusqu'à l'alpage de Bavon (2023m) tend à disparaître, et plus bas, c'est un long flanc qui finit sur route.
Le trajet choisi pour le VTT n'est pas difficile ni exposé, il est juste physiquement exigeant. J'emprunte le sentier raquette pour la montée qui passe par la bonne route en terre jusqu'au point 1822 (Planboeufs). Depuis là, il faut pousser son vélo, et c'est assez raide. S'il est électrique, il va monter tout seul, la difficulté sera de le suivre car la pente est rude. 200m de dénivellation. C'est assez vite avalé. Deux courts passages nécessitent un petit portage pour un VTT léger, un peu plus de gymnastique pour un VTTe.
Dès 2000m on arrive dans des clairières vraiment sauvages et jolies. Ce bout de la randonnée vaut à lui seul le déplacement. La pente faiblit et l'on peut se remettre en selle. On passe Tsamonay, 2111, joli point de vue sur le val Ferret, puis une jolie descente en prairie jusqu'au point 2042.
Depuis là, les choses se dégradent pour le cycliste, car le sentier est dans un sillon assez profond; il n'est pas possible de pédaler: les pédales touchent le terrain latéral. Alors deux solutions: pousser jusqu'au point 2208, ou, moins joli, mais mieux adapté, aller vers le point 2015 (Vouardette), et montée raide sous les câbles de l'installation du télésiège. Il y a une piste raide pour gros 4x4. De la fin de cette installation, jusqu'au point 2267, la trace pour véhicule continue, ce qui permet de se mettre en selle sans peine. Laisser le vélo ici, car le terrain qui suit ne permet plus de rouler.
La montée se poursuit donc à pied sur une trace de sentier par un flanc nord sous le point 2345. Aucun marquage, mais cheminement évident. Arrivée au col, un grand kern est érigé, au milieu d'une vaste plaine d'altitude. Depuis là, il faut partir plein Est en direction de la crête. Aucun marquage, et peu de trace de sentier. Par temps clair, aucun problème. Terrain alpin non exposé. La flore est belle. Un petit passage entre roches et c'est le sommet qui arrive, sur une crête large sans danger. 45 minutes.
La descente s'effectue par le même cheminement, puis on saute sur son vélo, on retourne à la Vouardette en passant, cette fois sans hésiter, sous les câbles jusqu'à la buvette d'hiver. Puis on prend la route, en très bon état. Ça file bien. Un trentaine de minutes, et les 680 mètres de dénivellation sont parcourus avec plaisir, sans douleurs !
C'est cette descente facile qui justifie l'effort de monter son vélo jusqu'au sommet des pistes. Car, à pied, c'est pas fameux. Le sentier du point 2258 jusqu'à l'alpage de Bavon (2023m) tend à disparaître, et plus bas, c'est un long flanc qui finit sur route.
Tourengänger:
JeanM
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