1k @ Uetliberg
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La randonnée en elle-même n'a pas grand chose à faire découvrir - la crête de l'Albiskette entre l'Albispass (793m) et l'Uetliberg (870m), même si elle s'est effectuée dans des conditions plutôt gelées, est un grand classique. Non, l'intérêt de cette randonnée était de célébrer avec style mon défi de l'année, l'enchaînement de 1'000km de sentiers de randonnée au cours d'une année civile.
Comme j'ai pas mal fait l'impasse sur le ski en cette année de Covid, j'ai surtout compensé par de la marche à pied, en commençant début janvier par un tour de l'aéroport de Zurich (que je n'ai pas compté dans les 1000km cela dit). Mais le challenge, je l'ai surtout évoqué à partir de juillet. J'en étais à 400km environ, et j'étais dans les temps de mon année précédente, où j'avais dépassé les 700km. Avec une motivation et un planning appropriés, je me disais que c'était possible.
Mais le début de l'été est pourri, et il faut se faire violence pour se lever et attaquer les chemins, comme pour l'Alvier, dans le brouillard complet, ou bien pour les cascades de Batöni, avec un ciel très menaçant sur le Pizol. Heureusement, j'avais donc pu accumuler pas mal de kilomètres au printemps, avec en particulier le tour du lac de Zürich en 6 étapes et le Weg der Schweiz en 2 longues étapes, dont une première visite à la prairie du Grütli.
Evidemment, cela a un impact sur la vie sociale : depuis le début juillet, je n'ai pas fait un week-end sans sortir au moins une fois en montagne, une série de 33 semaines. Et cette détermination m'a permis de rattraper mon retard, pour finalement juger le défi réalisable au milieu d'automne. Des étapes "pour faire du kil'" ont été nécessaires (le Gallusweg entre Arbon et St-Gall ou le Waldstätterweg entre Küssnacht et Lucerne n'ont pas été les meilleures randos de l'année...) mais j'ai quand même bénéficié de belles journées de fin d'été indien pour passer le Risetenpass ou me refaire la Stulsergrat.
Les 1'000km ont été atteints début décembre, quelque part sur la crête de l'Ablis. Je décidais donc d'y retourner 2 semaines plus tard pour marquer le coup et trinquer à cette performance, autour d'une fondue bien arrosée sur la place de pique-nique de Hohenstein (708m). L'an prochain, ce sera un autre challenge - celui-ci était intéressant, mais a pris beaucoup trop de temps à accomplir...
Quelques stats :
Comme j'ai pas mal fait l'impasse sur le ski en cette année de Covid, j'ai surtout compensé par de la marche à pied, en commençant début janvier par un tour de l'aéroport de Zurich (que je n'ai pas compté dans les 1000km cela dit). Mais le challenge, je l'ai surtout évoqué à partir de juillet. J'en étais à 400km environ, et j'étais dans les temps de mon année précédente, où j'avais dépassé les 700km. Avec une motivation et un planning appropriés, je me disais que c'était possible.
Mais le début de l'été est pourri, et il faut se faire violence pour se lever et attaquer les chemins, comme pour l'Alvier, dans le brouillard complet, ou bien pour les cascades de Batöni, avec un ciel très menaçant sur le Pizol. Heureusement, j'avais donc pu accumuler pas mal de kilomètres au printemps, avec en particulier le tour du lac de Zürich en 6 étapes et le Weg der Schweiz en 2 longues étapes, dont une première visite à la prairie du Grütli.
Evidemment, cela a un impact sur la vie sociale : depuis le début juillet, je n'ai pas fait un week-end sans sortir au moins une fois en montagne, une série de 33 semaines. Et cette détermination m'a permis de rattraper mon retard, pour finalement juger le défi réalisable au milieu d'automne. Des étapes "pour faire du kil'" ont été nécessaires (le Gallusweg entre Arbon et St-Gall ou le Waldstätterweg entre Küssnacht et Lucerne n'ont pas été les meilleures randos de l'année...) mais j'ai quand même bénéficié de belles journées de fin d'été indien pour passer le Risetenpass ou me refaire la Stulsergrat.
Les 1'000km ont été atteints début décembre, quelque part sur la crête de l'Ablis. Je décidais donc d'y retourner 2 semaines plus tard pour marquer le coup et trinquer à cette performance, autour d'une fondue bien arrosée sur la place de pique-nique de Hohenstein (708m). L'an prochain, ce sera un autre challenge - celui-ci était intéressant, mais a pris beaucoup trop de temps à accomplir...
Quelques stats :
- 56 randos à travers 21 cantons (et 3 pays)
- 1'014km of de sentiers de randonnée uniques, cumulant 53'600m de montée et 59'500m en descente
- 240 heures passées à randonner - 30% plus rapide que le rythme moyen du club alpin
- plus haut point : Egginerjoch 2989m
- plus longue randonnée : 28km
- 3'100+ photos
Tourengänger:
gurgeh
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