Morgenberghorn
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Le sommet est un classique, mais le chemin que j'ai emprunté - et le sens apparemment - l'est beaucoup moins. Je démarre de Saxeten (1110m); le bus postal était plein mais nous ne sommes que 4, je crois, à prendre la direction du Rengglipass. C'est de l'asphalte pendant quelques hectomètres, puis le sentier oblique dans la pente et je commence à suivre un chemin de bonne déclivité, à travers des prairies et des forêts d'altitude. Il fait chaud et l'ombre est bienvenue, mais j'arrive doucement aux alpages et la végétation se fait beaucoup plus rare. Ce n'est qu'un peu avant Mittelberg (1633m) que j'aperçois enfin le col. Le Rengglipass (1879m) est facilement accessible mais les derniers mètres semblent interminables - peut-être parce que je suis trop rapide, atteignant le col en 1h30 au lieu des 2h20 annoncées.
Après une pause pour récupérer, j'attaque la partie en blanc-bleu de cette randonnée, l'ascension de l'arête sud du Morgenberghorn. Finalement, si la pente est soutenue, je me demande où se trouvent les difficultés... Mais c'est un peu avant le sommet que je rencontre, dans des parties à l'ombre, les passages-clé, sécurisés par des chaînes. Le chemin est étroit et la pente particulièrement exposée, mais je m'en tire sans problèmes.
J'atteins le sommet du Morgenberghorn (2249m) avec un paysage à 360° à couper le souffle. Cerise sur le gâteau, j'y passe 5 minutes sans personne au sommet - ce qui semble finalement peu évident, même en semaine, car il y aura sans arrêt des gens sur les pentes de cette montagne. Je pique-nique et profite du panorama, avant de reprendre ma route sur le chemin blanc-rouge. La première partie est un saut de 600m jusqu'à la Brunnihütte (1644m) sur à peine 1.5km. Cela signifie une pente importante, de nombreux lacets, et surtout quelques passages qui me semblent plus techniques en descente que de l'autre côté.
Du coup, arrivé en bas, je profite d'une rivella dans la cabane, car j'ai pas mal transpiré. Et la route est encore longue, donc je dois faire des pauses. L'arête du Greberegg (1595m) jusqu'à Aeschiried (1015m) est particulièrement longue et finalement peu intéressante; mais que dire de la suite : j'avais initialement prévu de terminer à Mülenen, mais mes jambes vont bien et j'ai envie de faire quelques kilomètres en plus, donc je m'oriente en direction de Spiez.
Il faut suivre de nombreuses fois la route principale, ou louvoyer entre les fermes, mais cela reste extrêmement ennuyeux. Je passe au large d'Aeschi, pour retrouver un terrain plus ombragé dans la forêt au-dessus de Faulensee. Les lotissements de Hondrich, puis le passage de l'autoroute avant de pénétrer dans Spiez (628m) me ramènent à la civilisation.
Après une pause pour récupérer, j'attaque la partie en blanc-bleu de cette randonnée, l'ascension de l'arête sud du Morgenberghorn. Finalement, si la pente est soutenue, je me demande où se trouvent les difficultés... Mais c'est un peu avant le sommet que je rencontre, dans des parties à l'ombre, les passages-clé, sécurisés par des chaînes. Le chemin est étroit et la pente particulièrement exposée, mais je m'en tire sans problèmes.
J'atteins le sommet du Morgenberghorn (2249m) avec un paysage à 360° à couper le souffle. Cerise sur le gâteau, j'y passe 5 minutes sans personne au sommet - ce qui semble finalement peu évident, même en semaine, car il y aura sans arrêt des gens sur les pentes de cette montagne. Je pique-nique et profite du panorama, avant de reprendre ma route sur le chemin blanc-rouge. La première partie est un saut de 600m jusqu'à la Brunnihütte (1644m) sur à peine 1.5km. Cela signifie une pente importante, de nombreux lacets, et surtout quelques passages qui me semblent plus techniques en descente que de l'autre côté.
Du coup, arrivé en bas, je profite d'une rivella dans la cabane, car j'ai pas mal transpiré. Et la route est encore longue, donc je dois faire des pauses. L'arête du Greberegg (1595m) jusqu'à Aeschiried (1015m) est particulièrement longue et finalement peu intéressante; mais que dire de la suite : j'avais initialement prévu de terminer à Mülenen, mais mes jambes vont bien et j'ai envie de faire quelques kilomètres en plus, donc je m'oriente en direction de Spiez.
Il faut suivre de nombreuses fois la route principale, ou louvoyer entre les fermes, mais cela reste extrêmement ennuyeux. Je passe au large d'Aeschi, pour retrouver un terrain plus ombragé dans la forêt au-dessus de Faulensee. Les lotissements de Hondrich, puis le passage de l'autoroute avant de pénétrer dans Spiez (628m) me ramènent à la civilisation.
Tourengänger:
gurgeh
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